Étude argosienne
Dans cette œuvre, la flûte traversière remplace l’aulos de la Grèce ancienne et en conserve la virtuosité ainsi que le caractère improvisé demandés dans les concours hellénistiques antiques. La musique était toujours improvisée, l’interprète étant de fait aussi le compositeur.
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Famille instrumentale | Flûte traversière |
Classifications catalogue | Flûte et piano |
Nomenclature instrument | flûte et piano |
Durée totale | 00:07:50 |
Éditeur | Éditions Billaudot |
Collection | The French Flutists propose |
Direction de collection | CHATOUX Frédéric |
Cotage | GB10532 |
Nb. total de pages | 24 |
Langues | Français, Anglais |
Cycle / Niveau | Concert |
Type répertoire | Œuvre(s) originale(s) |
Année copyright | 2024 |
Code EAN | 9790043105329 |
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Description
Une des caractéristiques de la Grèce ancienne sont les concours sportifs, hippiques et musicaux qui avaient lieu principalement à Olympie, Athènes, Delphes et Corinthe.
À Argos, le concours « le bouclier d’Argos » (son nom est dû au fait que le vainqueur recevait un bouclier, celui-ci pouvant devenir aussi un guerrier) a été créé spécialement pour les musiciens. On pouvait y concourir à l’aulos ou à la cithare, en solo ou en duo avec un chanteur. La musique était toujours improvisée de sorte que l’interprète était aussi le compositeur. On concourait pour la gloire et les honneurs car la récompense était une couronne de laurier (la plus prestigieuse étant celle de Delphes).
Dans cette œuvre, la flûte traversière remplace l’aulos et conserve la virtuosité ainsi que le caractère improvisé demandés dans les concours hellénistiques.