Go to content Go to main navigation

Due to the festive season, shipments from our company will slow down between 24 December and 2 January. We wish you a very happy festive season.

Foxtrot Delirium. 12 instruments et dispositif électronique

12 instruments et dispositif électronique

Martin MATALON

Details

Instrument family Orchestra
Catalog classifications Diverse ensembles: 11-20 musicians, Mixed music and acousmatic music
Instrument nomenclature 1.0.1.1 - 1.1.1.0 - pno, 2 perc, vl et vlc
Total duration 00:58:00
Publisher Éditions Billaudot
Cotage GB9650 0
  • Foxtrot Delirium. 12 instruments et dispositif électronique Visual

Description

> Commande d’État pour Ars Nova ensemble instrumental
> Création le 20 janvier 2015, à Valence (France), dans le cadre du Festival Lux, par Ars Nova ensemble instrumental, sous la direction de Philippe Nahon
--

”Fort de mon expérience avec les partitions que j’ai composées pour les trois films que Luis Bunuel écrivit dans les années 20 et 30 (Un chien Andalou, Terre sans pain et L’Âge d’or) et Metropolis de Fritz Lang, je souhaite avec ce petit chef-d’œuvre qu’est Die Austemprinzessin, approfondir ce genre qu’est le ciné-concert, en prospectant sur un terrain relativement nouveau pour moi : la critique sociale à travers la comédie et l’humour. Trop souvent absent de la musique contemporaine, l’humour permet de traiter des choses importantes, souvent profondes, avec esprit et légèreté.
Je compte explorer et utiliser tout le spectre de relations possibles entre musique et images, entre séquences musicales et plans visuels, entre le montage du film et l’articulation formelle de la musique : du parallélisme le plus dépendant à la divergence la plus complète. Tout en gardant une relation amicale avec le film, et en étant toujours attentif à son montage (clé de voûte pour le travail avec les images) et aux possibles points de rencontre entre musique et image, je dirigerai ce travail pour, idéalement, créer une troisième œuvre qui résultera de l’addition du film et de la musique.”

(Martin Matalon)