La Phœnix
Opus 25
Écrite par une femme pour une femme, La Phœnix, pièce pour violoncelle seul, célèbre la féminité de la Nature, la renaissance comme une maternité. Le violoncelle y incarne une forme de conscience étendue du vivant en résonance avec la Terre.
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Famille instrumentale | Violoncelle |
Classifications catalogue | Violoncelle seul |
Nomenclature instrument | violoncelle seul |
Durée totale | 00:07:00 |
Éditeur | Éditions Billaudot |
Cotage | GB10653 |
Nb. total de pages | 8 |
Langues | Français, Anglais |
Cycle / Niveau | Concert |
Style musical | Contemporain |
Type répertoire | Œuvre(s) originale(s) |
Année copyright | 2024 |
Année copyright | 2024 |
Code EAN | 9790043106531 |
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Description
Commandée en 2024 par le Festival International de violoncelle de Beauvais sous l’impulsion d’Emmanuelle Bertrand, cette pièce est créée le 1er juin 2024 lors d’un concert-lecture intitulé « Les chants de la terre et du vivant ».
Élise Bertrand choisit d’écrire une forme musicale en arche pour matérialiser la symbolique de la renaissance éternelle de la nature de saison en saison, mais aussi de l’oiseau mythique qu’est le phœnix, renaissant de ses propres cendres. La Phœnix ici au féminin, c’est aussi le rapport symbolique à la femme, à l’interprète et à la compositrice.