Kaptara
Kaptara… Sept lettres qui contiennent ce « mystère du lointain » que j’ai si souvent recherché dans ma musique.
C’est le nom donné à la civilisation minoenne dans les écrits de Mari, l’ancienne cité syro-mésopotamienne. La civilisation crétoise est souvent identifiée comme la source du mythe de l’Atlantide : Kaptara est donc le nom possible de cette île, cet Eden englouti, dont j’ai tant rêvé. (Guillaume Connesson)
Kaptara est une pièce pour flûte seule, commande du Concours international Maxence Larrieu, 2024.
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Famille instrumentale | Flûte traversière |
Classifications catalogue | Flûte seule |
Nomenclature instrument | flûte seule |
Durée totale | 00:06:00 |
Éditeur | Éditions Billaudot |
Cotage | GB10606 |
Nb. total de pages | 12 |
Langues | Anglais, Français |
Cycle / Niveau | Concert |
Style musical | Contemporain |
Type répertoire | Œuvre(s) originale(s) |
Année copyright | 2024 |
Code EAN | 9790043106067 |
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Description
Kaptara… Sept lettres qui contiennent ce « mystère du lointain » que j’ai si souvent recherché dans ma musique.
C’est le nom donné à la civilisation minoenne dans les écrits de Mari, l’ancienne cité syro-mésopotamienne. La civilisation crétoise est souvent identifiée comme la source du mythe de l’Atlantide : Kaptara est donc le nom possible de cette île, cet Eden englouti, dont j’ai tant rêvé.
Ma pièce s’ouvre par une introduction en mode indien Shrî (plusieurs fois transposé) comme s’ouvre une porte sur un « ailleurs ». Elle mène vers une première danse qui s’anime progressivement. Une partie centrale plus lente et lyrique voit s’épanouir un nouveau thème très vocal. Enfin une deuxième danse, virtuose, conclut la pièce dans une transe rythmique qui reprend le motif de l’introduction. (Guillaume Connesson)
Kaptara est une pièce pour flûte seule, commande du Concours international Maxence Larrieu, 2024.