Vertigo
L’œuvre est en quatre mouvements qui peuvent être joués indépendamment, passant d’une ambiance pleine de vivacité rythmique, à quelques allusions à la musique klezmer, une méditation très contemplative et des clins d’œil aux musiques actuelles. Le compositeur espère qu’à l’écoute de Vertigo, le « vertige » né du télescopage de plusieurs ambiances, toutes hantées par une pulsation omniprésente, soit ressenti.
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Famille instrumentale | Musique de Chambre |
Classifications catalogue | Quintettes : autres formations |
Nomenclature instrument | clarinette en sib et quatuor à cordes |
Durée totale | 00:12:00 |
Éditeur | Éditions Billaudot |
Cotage | GB10435 |
Nb. total de pages | 68 |
Langues | Français, Anglais |
Cycle / Niveau | Concert |
Public concerné | Adultes |
Style musical | Contemporain |
Type répertoire | Œuvre(s) originale(s) |
Année copyright | 2024 |
Code EAN | 9790043104353 |
Audios | Sans |
Compléments EDU | sans |
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Description
Même s’il n’y a dans mon quintette avec clarinette Vertigo aucune citation du compositeur américain, le titre est une référence à Bernard Herrmann, un musicien qui m’est cher et dont je suis en train d’écrire la biographie pour Actes Sud. L’œuvre est en quatre mouvements qui peuvent être joués indépendamment. Le premier nous installe d’emblée dans une ambiance pleine de vivacité rythmique, les pizzicati du violoncelle imitant ceux d’une contrebasse jazzy. Le deuxième s’autorise quelques allusions à la musique klezmer. Le troisième est une méditation très contemplative où clarinette et instruments du quatuor se répondent sur des textures toutes en frémissements énigmatiques. Quant au quatrième, on y trouve des clins d’œil au rock, à la pop, à la techno et au funk de James Brown. J’aimerais qu’à l’écoute de Vertigo on ressente le « vertige » né du télescopage de plusieurs ambiances, toutes hantées par une pulsation omniprésente.